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Le Caire, 14 juillet 1944. Dans un mystérieux accident de voiture meurt Asmahan, figure légendaire de la chanson arabe du xxe siècle. Asmahan (La Sublime en arabe) n'était pas seulement cette célébrité dont la voix et la beauté séduisaient l’ensemble du monde arabe. Elle était surtout une femme libre et controversée qui défia les conventions de son temps.
Mariée trois fois, épinglée pour son mode de vie trop occidental, elle tenta désespérément de trouver sa place entre Le Caire, Beyrouth et Jérusalem. Espionne pour les Alliés pendant la Seconde Guerre mondiale, elle joua un rôle actif dans les événements géopolitiques de son temps.
Sa mort prématurée donna lieu à d’innombrables spéculations. Avait-elle été assassinée par les Anglais embarrassés par cette espionne trop bavarde ? Par les nazis ? Par l'un de ses ex maris ? Par la reine d’Égypte dont elles partagent un temps le même amant ? Ou encore par sa rivale sur scène, Oum Kalthoum ?
Dans ces pages, son fidèle ami, le journaliste Mohamed Al Tabai, mène l’enquête retraçant ainsi la vie de cette diva exceptionnelle.
♦ Accéder au dossier de presse ♦ [metaslider id="3416"]« 30 secondes. C’est le temps que durent les vidéos postées depuis Gaza sur les réseaux sociaux... Trente secondes pour un bref aperçu de l’enfer que vivent des êtres ni plus ni moins humains que nous… »
De Ramallah, où il vit, Mohammad Sabaaneh a entrepris de documenter la tragédie que vivent les Gazaouis depuis octobre 2023 à travers des dessins qui reproduisent les scènes des vidéos postées depuis Gaza. Il veut par là sauvegarder les traces de ce qui est en train de se passer, car ces images disparaissent les unes après les autres des réseaux sociaux, censurées par les grandes plateformes d'Internet.Ce livre recueille quatre-vingt-douze dessins réalisés à l’encre de Chine sur papier parce que, comme le dit l’auteur, « aucune solution liquide ne peut l’effacer. Elle est indélébile comme l’est le sang qui coule dans les rues de Gaza, dans ses hôpitaux et sur les visages de ses enfants que rien, jamais, ne pourra effacer de nos mémoires ».
Le livre est introduit par une préface de l'historien israélien Ilan Pappé et de l'historienne palestinienne Nadia Naser-Najjab et paraît en même temps en Italie et en Espagne grâce à la complicité des éditions Mesogea et de la Fondation Al Fanar.
LES BÉNÉFICES DU LIVRES SERONT DÉDIÉS À LA POPULATION DE GAZA
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